Maël et Angélique sont réparateurs mais aussi musiciens accordéonistes.
Conliege: Un atelier de réparation d’accordéons a ouvert.
Depuis début février, un magasin de réparation d’accordéon a ouvert ses portes. À sa tête, Maël Dahy et Angélique Triart, accordéonistes.
Ils sont installés depuis le 1er février au 35 de la rue Haute. Maël Dahy et Angélique Triart ont implanté leur atelier de réparation d’accordéon « Musique à lames », comprenant l’entretien, l’accordage, la restauration.
L’accordéon chromatique, diatonique, le bandonéon, le concertina n’ont plus de secret pour Maël et Angélique aussi bien dans leur mécanique que dans leur utilisation étant de bons musiciens. Tous les deux n’écartent pas l’idée, un jour, de fabriquer ces instruments. Ils deviendront, alors, facteurs d’accordéons.
Un seul artisan de cette sorte en Franche-Comté
Le premier a 38 ans, un Jurassien originaire des Rousses dont il a fréquenté le collège avant de se retrouver au Creps de Chalain. Puis en Bretagne à l’atelier de l’enfer à Douarnenez où il a travaillé durant cinq ans comme charpentier de marine, marqué par la passion du bois. La seconde, Angélique, est âgée de 35 ans, originaire de Chaumont. Elle exerce la profession de dessinatrice dans un bureau d’étude voirie. Tous les deux se sont rencontrés à l’institut technologique en instruments de musique au Mans. « Nous sommes accordéonistes tous les deux. Nous nous sommes installés dans le Jura car il n’existe qu’un seul artisan, traitant notre domaine, en Franche Comté, à Besançon. Il y a donc de la place et le potentiel de clientèle existe surtout que les intéressés n’hésitent pas à faire des kilomètres pour nous confier leurs instruments », expliquent les deux musiciens.L’accordéon chromatique, diatonique, le bandonéon, le concertina n’ont plus de secret pour Maël et Angélique aussi bien dans leur mécanique que dans leur utilisation étant de bons musiciens. Tous les deux n’écartent pas l’idée, un jour, de fabriquer ces instruments. Ils deviendront, alors, facteurs d’accordéons.
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Un nouvel atelier de fabrication de bijoux à Conliège
C’est sous l’enseigne « La perle rouge » que Marie-Charlotte Chaillon a installé au 16 de la rue Neuve, son atelier de fabrications artisanales en pâte polymère de bijoux fantaisies colorés, étendues aux vases et mobiles. Jurassienne de Tourmont où elle est née il y a 30 ans, Marie-Charlotte est autodidacte dans ce métier d’artisan. Elle a fréquenté l’université de Lyon en lettres et histoire de l’art avant de faire un choix d’activité. Elle possède le statut d’auto-entrepreneur depuis janvier 2013 et utilise les marchés et internet pour commercialiser ses fabrications. Dans son atelier elle organise aussi des cours ouverts à tous.Plus d’infos : Tel06.86.96.59.72. bloglaperlerouge.wordpress.com
Un artisan ferronnier s’installe au village
C’est au 73 de la rue Haute que Sylvain Sanchez a installé récemment son atelier de ferronnerie en bâtiment. Sylvain Sanchez a acquis une expérience dans le métier qu’il a pratiqué en tant que salarié durant 14 années à Besançon et Lyon. Né à Martigues il y a 32 ans, Sylvain Sanchez a suivi ses études à Vesoul du CAP au BEP avant d’obtenir à Besançon le brevet professionnel et le brevet de maîtrise. Le papa de Mariane, sa compagne, ayant une maison à Conliège, le couple est venu s’y installer. « Je pratique la ferronnerie et la métallerie en bâtiment principalement mais je fais aussi du mobilier et des objets de décoration», explique l’artisan qui a choisi comme nom d’enseigne « L’étincelle ». Parallèlement à son travail, Sylvain a eu l’idée de développer sa compétence de soudeur dans la construction de remorques. « Le véhicule est destiné à être accroché à un vélo afin de démultiplier l’usage de ce dernier. La remorque est solide, durable, très maniable, à usage de transports divers… » explique-t-il.
L’étincelle métallerie. Contact : 06.14.57.06.39 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.